Infos pays : Israël

Géographie

  • Israël est divisé en quatre régions :
    • La plaine au sud du pays située au-dessus de la bande de Gaza. Large d’une quarantaine de kilomètres, la région est fertile et humide et elle est connue pour sa production d’agrumes et de vin.
    • Les collines du centre du pays, les collines de Galilée, de Samarie et de Judée. Le mont Meron, situé en Galilée, est culminant avec une hauteur de 1208 mètres.
    • La vallée du Jourdain, vallonnée par le lac de Tibériade, la mer Morte (à près de 400 mètres au-dessous du niveau de la mer) et le fleuve du Jourdain (long de 322 km), il prend sa source au mont Hermon, au Liban. Les eaux de la Vallée du Rift poursuivent leur course sur 170 km vers le golfe d’Aqaba.
    • Le désert du Néguev, avec une surface de 12000 km², s’étend sur la moitié de la superficie d’Israël. Le point culminant du Néguev se situe à Eilat.

Population

9,1 millions d’habitants en 2020.
Densité : 415 hab./km²

Religions

  • « Terre Promise » pour les juifs, « Terre Sainte » pour les chrétiens et « Terre Bénie » pour les musulmans. Le pays se compose d’environ 82.5 % de juifs, 15 % de musulmans et 2,5 % de chrétiens.
  • Les Eglises Catholiques latine et uniate

Quelles que soient les relations entre Rome et Constantinople, il n’y a pas eu de tentative d’établir une Eglise occidentale en Terre Sainte, indépendante du patriarcat orthodoxe, jusqu’en 1847, la responsabilité de l’Eglise locale était assurée par l’ordre des Franciscains, qui servait de gardien des lieux saints latins depuis le XIVème siècle.
Aujourd’hui, l’Eglise latine de Jérusalem est dirigée par un patriarche, assisté de trois vicaires (résidant à Nazareth, Amman et Chypre). Cette communauté compte près de 27 000 personnes en Israël (et 10 000 autres dans la rive ouest et à Gaza). Le poste de patriarche latin de Jérusalem est occupé par l'archevêque Pierbattista Pizzaballa depuis le 24 octobre 2020.
L’Eglise maronite est une communauté chrétienne d’origine syrienne ; la majorité de ses membres vivent au Liban. Liée à l’Eglise catholique romaine depuis 1182, elle est la seule Eglise d’Orient entièrement catholique. Comme les uniates (une Eglise d’Orient en communion avec Rome, qui maintient encore sa langue, ses rites et ses lois canoniques), ils possèdent leur propre liturgie en langue syriaque, qui provient essentiellement du rite d’Antioche. La communauté maronite en Israël compte près de 6 700 membres, la plupart vivant en Galilée. Le vicariat du patriarcat maronite siège à Jérusalem depuis 1895.
L’Eglise catholique melkite grecque a été fondée en 1724, à la suite d’un schisme au sein de l’Eglise orthodoxe-grecque d’Antioche (le terme « melkite » remonte au IVème siècle et se réfère aux chrétiens autochtones qui avaient accepté la définition de la foi du concile de Chalcédoine et étaient restés liés avec le siège impérial de Constantinople).
L’Eglise catholique syrienne, une branche uniate dissidente de l’Eglise orthodoxe syrienne, est en communion avec Rome depuis 1663. Les catholiques syriens ont leur propre patriarche (résidant à Beyrouth) et, depuis 1890, à Jérusalem, un vicaire patriarcal qui est le guide spirituel d’une petite communauté locale, ainsi qu’à Bethléem, avec près de 300 membres. En juillet 1985, la communauté consacra la nouvelle église patriarcale de Jérusalem, dédiée à saint Thomas, apôtre des peuples de Syrie et des Indes.
L’Eglise catholique arménienne, séparée de l’Eglise orthodoxe arménienne en 1741, bien qu’elle fût auparavant une communauté arménienne de Cilicie (au sud de l’Anatolie), a toujours été en contact avec Rome depuis la période des croisés. Le patriarche catholique arménien réside à Beyrouth car, à cette époque, les autorités ottomanes interdisaient d’habiter à Constantinople. Un vicariat patriarcal fut établi à Jérusalem en 1842. La communauté catholique arménienne en Terre Sainte s’élève à 900 membres, vivant à Jérusalem, à Béthanie, Ramallah, Haïfa et Gaza. Bien qu’unie à Rome, cette Eglise entretient de bonnes relations avec l’Eglise orthodoxe arménienne, et coopère avec elle pour le bien de toute la communauté.
L’Eglise catholique copte est unie à Rome depuis 1741, mais ce n’est qu’en 1955 que le patriarche copte d’Alexandrie nomma un vicaire patriarcal à Jérusalem, où la communauté locale s’élève aujourd’hui à 100 membres.
L’Eglise catholique chaldéenne est une descendante uniate de l’ancienne Eglise apostolique d’Orient (assyrienne). Ses membres continuent d’utiliser le syriaque comme langue liturgique.
Cette Eglise fut créée en 1551, et son patriarche réside à Bagdad. Sa communauté en Terre Sainte ne compte que quelques familles ; néanmoins, cette Eglise conserve le statut de communauté religieuse « reconnue ». Depuis 1903, les chaldéens sont représentés à Jérusalem par un vicaire patriarcal non-résident.

  • Les Eglises orthodoxes-chalcédoniennes

Nommée également Eglise Orientale ou grecque-orthodoxe, elle se compose d’une famille d’Eglises reconnaissant la primauté honoraire du patriarcat de Constantinople. Historiquement, cette Eglise s’est développée à partir des Eglises de l’Empire romain d’Orient ou Empire Byzantin.
Le patriarcat grec orthodoxe se considère comme représentant l’Eglise mère de Jérusalem, auquel la dignité d’évêque patriarcal a été accordée par le concile de Chalcédoine en 451. Depuis 1054, il est séparé avec Rome. Cependant, en 1964, une rencontre historique entre le pape Paul VI et le patriarche œcuménique de Constantinople, Athénagoras a eu lieu à Jérusalem et a marqué le début d’une réconciliation.
La Mission orthodoxe russe s’est établie à Jérusalem en 1858, mais les chrétiens russes ont commencé à visiter le Terre Sainte dès le XIème siècle, quelques années après la conversion de Kiev. De telles visites se sont poursuivies pendant les 900 années suivantes, s’accroissant lors des grands pèlerinages annuels au XIXème siècle, continuèrent jusqu’à la Première Guerre Mondiale pour s’interrompre avec la Révolution Russe. Depuis 1949, les titres de propriété de l’Eglise russe sur le territoire israélien ont été maintenus par la Mission orthodoxe russe (patriarcat de Moscou) ; les titres de propriété dans les régions sous contrôle jordanien sont restés sous la responsabilité de la mission ecclésiastique russe représentant l’Eglise russe orthodoxe en exil. Ces deux missions sont dirigées chacune par un archimandrite assisté de moines et de religieuses.
Une mission représentant l’Eglise orthodoxe roumaine s’est établie en 1935. Elle est dirigée par un archimandrite et se compose d’une petite communauté de moines et de religieuses résidant à Jérusalem.

  • Les Eglises non-chalcédoniennes orthodoxes

Ces Eglises d’Orient – arméniennes, coptes, éthiopiennes et syriennes – sont celles qui ont rejeté l’enseignement du concile de Chalcédoine (451) sur la double nature (divine et humaine) du Christ. Les Eglises non-chalcédoniennes professent le monophysisme qui ne reconnaît qu’une seule nature, la nature divine du Christ.
L’Eglise arménienne orthodoxe a été fondée en 301 et date de la conversion de l’Arménie, la première nation à avoir embrassé le christianisme. Depuis le Vème siècle, une communauté religieuse arménienne est présente à Jérusalem. De source arménienne, le premier patriarcat remonte à la charte accordée par le calife Omar au patriarche Abraham en l’an 638. Le patriarcat arménien de Jérusalem a été établi en 1311. Durant le XIXème siècle et jusqu’après la Première Guerre Mondiale, la communauté arménienne locale a augmenté du fait de l’absorption des survivants des massacres d’Anatolie, en particulier ceux de 1915. Avant 1939, cette communauté comptait près de 15 000 membres, et était la troisième en importance au sein du groupe chrétien. Aujourd’hui, ses membres sont entre 2500 et 3000 – à Jérusalem, Haïfa, Jaffa et Bethléem.
L’Eglise orthodoxe copte a ses racines en Egypte, où la majorité de la population est devenue chrétienne durant les premiers siècles de l’ère chrétienne. Ses membres affirment être arrivés à Jérusalem avec Sainte Hélène, la mère de l’empereur Constantin. Cette Eglise a eu une influence primordiale sur le développement de la vie monastique dans une Judée aride et désolée. Cette communauté compte un peu plus de 1 500 membres à Jérusalem, Bethléem et Nazareth.
L’Eglise orthodoxe éthiopienne dispose d’une communauté à Jérusalem depuis le Moyen Age. Les premiers historiens de cette Eglise mentionnent des pèlerinages d’Ethiopiens en Terre Sainte dès le IVème siècle. Il est certain que lors des siècles qui suivirent, cette Eglise a bénéficié de droits importants sur les lieux saints, mais en a perdu une grande partie pendant la période turque, avant la déclaration du Statu Quo.
L’Eglise orthodoxe syrienne est l’héritière de l’ancienne église d’Antioche, et est l’une des plus anciennes communautés chrétiennes du Moyen-Orient.
L’Eglise apostolique d’Orient (parfois appelée par erreur nestorienne), originaire des régions limitrophes de la Turquie, l’Iran et l’Irak, utilise le syriaque (araméen oriental) dans sa liturgie et ses prières. Depuis 1917, ses patriarcats résident à Chicago et Kerala (Inde). La présence de cette Eglise à Jérusalem date du Vème siècle. Aujourd’hui, un archevêque la représente.

  • Les Eglises protestantes

Les communautés protestantes du Moyen-Orient ne remontent qu’au début du XIXème siècle, quand les missionnaires d’Occident « redécouvrirent » la Terre Sainte. Ces missions avaient pour but d’évangéliser la majorité musulmane et les fidèles orthodoxes arabophones.
L’Eglise épiscopale de Jérusalem et du Moyen-Orient (anglicane) résulte de la volonté de la reine d’Angleterre et du roi de Prusse d’établir, en 1841, un évêché protestant anglo-luthérien (en 1886, les deux Eglises se sont séparées). En 1976, des changements significatifs permettent l’élection et la consécration du premier évêque arabe. Le diocèse compte environ 4 500 anglicans (dont 2 000 à 2500 en Israël), constituant la plus importante communauté protestante en Terre Sainte. L’évêque anglican de Jérusalem a son siège en la cathédrale de Saint-Georges-le-martyr à Jérusalem.
L’Eglise luthérienne allemande, fondée en 1886, attire de plus en plus de fidèles arabophones. Depuis 1979, la communauté arabophone a son propre évêque et existe indépendamment de l’Eglise allemande, bien que les deux partagent les locaux du Propstei, rue Muristan, dans la vieille ville. La communauté arabe compte environ 500 personnes, tandis que la communauté allemande en compte environ 200.
L’Eglise baptiste en Terre Sainte a vu le jour avec la création d’une communauté à Nazareth en 1911. Aujourd’hui, l’Association des églises baptistes compte au total dix églises et centres en Israël.
L’Eglise d’Ecosse (presbytérienne) a envoyé sa première mission en Galilée en 1840, et pendant les cent dernières années s’est engagée activement dans les domaines de l’éducation et de la médecine. Aujourd’hui, cette petite communauté, composée d’expatriés, offre ses services aux pèlerins et aux visiteurs. L’Eglise d’Ecosse maintient une église et un hospice à Jérusalem et à Tibériade. La société indépendante médicale et missionnaire d’Edimbourg assure le fonctionnement d’un hôpital d’enseignement pour infirmières à Nazareth.
L’Eglise de Dieu (pentecôtistes) possède une petite communauté à Jérusalem, à Nazareth et sur la rive orientale (près de 200 membres en tout), avec un centre international sur le mont des Oliviers.
L’Eglise de Jésus-Christ des saints du dernier jour (mormons) a établi une petite communauté à Jérusalem en 1972. Aujourd’hui, les membres de cette Eglise sont au nombre d’environ 200, avec en plus 170 étudiants du Centre de Jérusalem pour les études du Proche-Orient – une branche de l’université Brigham Young de Provo, Utah (Etats-Unis).

Institutions politiques

  • L’Etat d’Israël a été proclamé le 14 mai 1948. C’est une démocratie parlementaire à chambre unique, la Knesset constituée de 120 membres élus au suffrage universel. Le premier ministre dirige le Cabinet et le président, chef officiel de l’Etat, est élu par la Knesset pour cinq ans.
  • Le Président actuel de l’Etat d’Israël est Reuven Rivlin, élu en 2014.

Monnaie

  • La monnaie est le Shekel, subdivisé en 100 agorots. 1 € = 3.96 NIS (cours du 16/12/2020).
  • Vous pouvez apporter des euros que vous changerez sur place.

Coût de la vie

Pourboires

  • Vous avez l’habitude en France de verser éventuellement un pourboire pour un service rendu qui vous a donné satisfaction. En Israël, il n’en est rien. Cette gratification est une quasi-institution.
  • Il est ainsi d’usage de prévoir un pourboire d’un montant de 2.5 € par jour et par personne pour le guide, 1.5 € par jour et par personne pour le chauffeur, soit un total de 4,5 € par jour.
  • Pour le bon déroulement de votre séjour, votre guide vous demandera la totalité de cette somme en début de voyage et gèrera lui-même la relation entre les hébergements et le chauffeur.

Langue

  • Les langues officielles sont l’hébreu et l’arabe, qui est aussi la langue d’usage.
  • L’anglais est la seconde langue la plus couramment parlée car enseignée dans les écoles.
  • Les publications et journaux sont édités en une multitude de langues : français, espagnol, allemand, yiddish, russe, polonais, hongrois.
  • Tous les panneaux indicateurs des villes sont lisibles en hébreu, arabe et en anglais.

Téléphone

  • Pour téléphoner depuis la France vers Israël, composez le 00 972 suivi de l’indicatif de la ville (2 pour Jérusalem) et suivi du numéro de votre correspondant.
  • Pour téléphoner depuis Israël vers la France, composez le 00 33 suivi du numéro de votre correspondant sans le 0.
  • En cas d’urgence sur place, composez le 101 pour contacter les secours médicaux.

Spécialités culinaires

Hommous : purée de pois chiches et de sésame
Taboulé à la libanaise avec une base de persil et de menthe
Kefta : viande de mouton haché en brochette
Kebab : viande de mouton grillé
Falafels : boulettes de pois chiches, de fèves et de farine aillées et persillées
Les mets sont toujours accompagnés de galettes de pain "pita"

Conseils

  • Dans les lieux Saints, il est recommandé de porter des vêtements couvrants.

Formalités

  • Pour les ressortissants français, un passeport valide au moins 3 mois après votre retour est nécessaire.
  • Aucun visa n’est nécessaire pour les ressortissants français, pour un séjour touristique de moins de trois mois.
  • Une autorisation d’entrée dans le pays sur une feuille volante vous sera distribuée à l’entrée du pays, votre passeport ne sera pas tamponné.
  • Ces informations sont données à titre indicatif et sont susceptibles de changer sans préavis. Nous vous invitons à les vérifier auprès de l’ambassade ou sur notre site internet www.ictusvoyages.com rubrique « formalités & visa ».
  • Consulat d’Israël : 3, rue Rabelais 75008 Paris - Tél : 01 40 76 55 00.


Pour les mineurs : autorisation de sortie du territoire obligatoire.
Réglementation en vigueur depuis le 15/01/2017 Cette disponibilité concerne tout mineur français ou étranger résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagné par une personne exerçant l’autorité parentale. A compter du dimanche 15 janvier, les mineurs quittant le territoire français devront présenter :
  • une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport selon les exigences du pays de destination).
  • le formulaire d’autorisation de sortie de territoire signé par l’un des parents titulaire de l’autorité parentale.
  • la photocopie du titre d’identité valide ou périmé depuis moins de 5 ans du parent ou représentant légal signataire.


Conditions sanitaires d’entrée en Israël (mise à jour le 08.06.2023)
Depuis le 15 mai 2023, l'obligation de souscrire une police d'assurance maladie couvrant le traitement du Covid-19 comme condition d'entrée des touristes en Israël a été annulée.
En conséquence, il n'existe plus à ce jour aucune exigence liée au Covid-19 pour pouvoir entrer en Israël.

NB : au plus tard 1 mois avant le départ ou dès réception de la confirmation du voyage, vous devrez nous fournir par email à contact@ictusvoyages.com la copie de votre passeport VALIDE (2 pages principales lisibles).
Vous pourrez retrouver toutes ces informations et les mises à jour éventuelles sur le lien https://israelsafe.com/

Il appartient à chaque voyageur de vérifier qu'il est en règle avec les formalités administratives et sanitaires requises par le pays visité.

Climat

  • Le climat est méditerranéen sur la majorité du pays et devient de type semi-désertique lorsqu’on descend vers le Sud. Il fait très chaud en été sur les rives de la Mer Morte, de la Mer Rouge et de la Mer de Galilée. La brise, près des côtes de la Méditerranée, rafraîchit l’atmosphère.
  • La période de février à novembre est favorable pour se rendre en Israël et se prolonge jusqu’à décembre pour la région d’Eilat.
  • Les hivers sont froids en montagne et pluvieux et doux sur le reste du pays.
  • En janvier, il peut neiger à Jérusalem (800 m d’altitudes).


JERUSALEM

Jan.

Fév.

Mars.

Avr.

Mai

Juin

Juil.

Août

Sept.

Oct.

Nov.

Déc.

T° min (en °c)

6

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19

18

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12

8

T° max (en °c)

11

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25

27

29

29

28

26

19

14

TIBERIADE

Jan.

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Mars.

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Mai

Juin

Juil.

Août

Sept.

Oct.

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T° min (en °c)

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T° max (en °c)

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MER MORTE

Jan.

Fév.

Mars.

Avr.

Mai

Juin

Juil.

Août

Sept.

Oct.

Nov.

Déc.

T° min (en °c)

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T° max (en °c)

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38

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Santé

  • Aucune vaccination n’est exigée (hors période COVID).
  • N’oubliez pas vos éventuels traitements en cours.

Décalage horaire

  • Il y a une heure de décalage entre la France et Israël. Lorsqu’il est midi en France, il est 13h00 en Israël.

Electricité

  • 230 V – Mêmes prises qu’en France, vous n’avez donc pas besoin d’adaptateur.

Ambassade du pays

3, rue Rabelais 75508 Paris
Tél : 01 40 76 55 00.

Office du tourisme

94, rue Saint Lazare
75009 PARIS
Tel : 01.42.61.01.97

Bibliographie

  • O Jérusalem de Dominique Lapierre et Larry Collins – Ed. Robert Laffont.
  • Carnet de voyage en Terre Sainte de Jean Guitton
  • Revue Monde de la Bible n° 100, n° 107, n° 157

Guide Bleu Israël

Israël